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Cantiques intimes pour une Kinoise, à paraître bientôt.

Quiconque possédant des aptitudes fortuites ou innées sur l’art du poète se ceint de fierté de se connaître parmi les quelques pionniers à lire les réalisations poétiques mais surtout se savoir permis comme l’aurait-on dû nous permettre à écrire sur l’avant-propos du recueil de poèmes que tout le monde après nous lira à son temps s’il se procure l’ouvrage au marché du livre devenu à nos jours convivial dans tout kin.

Ce qui répercute dans la société la forte connaissance des poètes et leurs œuvres publiées dès vivant de leur carrière. Cette ère nous propose de toute couleur, les poètes aussi leurs œuvres comme dans la renaissance de la littérature congolaise. C’est tout à fait patent de répandre le credo selon lequel l’âge d’or de la littérature du Congo serait à l’effluve jubilatoire à raison que nous trouvons, celle de tomber sur l’auteur dont « son astre en naissant comme disait Boileau, l’a formé poète. » Et dans cette lignée, grandiose serait de voir figurer le poète qui à nous concède l’honneur de tripoter à la minutie un manuscrit dont on lui reconnaît des droits bien avant tous les autres.

Ce recueil à mes yeux littéraires ne forme qu’un seul poème qu’on a aligné à des efficiences distinctes de textes voulant, lui l’auteur, les correspondre aux notes musicales alors qu’il pouvait mieux faire une seule note comme Châtiment sur les faits de société : défendre les droits des enfants et de tout individu en menace et se voir à côté des poètes engagés tels : Hugo, Césaire, Wole Sonyika qui toujours cadre ses textes en son articulat « viol des nations » ou encore d’autres, de son choix à sec veut, lui Archip, dévier tout pour suivre la vague homogène des lyriques. […]

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